Poeme d'amour : Poeme Triste
Le vent souffle en rafales à travers les barreaux,
Au fond du box miteux, un vieux chien se tient droit,
L’hiver il connait ça, il ne craint pas le froid,
et même s’il se sent faible, il ne dit pas un mot.Cinq ans déjà qu’il est au fond de cette cage,
Il a même oublié au juste, quel est son âge,
Ses douleurs lui rappellent qu’il n’est plus un jeune chien,
Mais il se tient bien droit, il ne lâchera rien.Ses visiteurs qui passent, il faut bien les charmer…
Alors il se tient droit, il oublie son arthrose,
Il espère qu’on lui trouve un petit quelque chose,
Il espère tant et tant, et depuis tant d’années.La chaleur d’un foyer, bien sûr qu’il l’a connu.
L’amour, il l’a donné bien plus qu’il n’en a eu,
Il les a protégés, aimés, défendus et veillés,
Il n’a eu en retour que cet ultime rejet.C’était une matinée chaude et ensoleillée.
Son maître l’a largué ici et a rempli deux, trois papiers.
Lui, il n’a rien compris, mais en bon chien, il était sage.
Et pour faire taire sa peur il a rassemblé son courage. Les aboiements des autres, où il sent de la peur,
Ces sacs poubelles qui passent, tous ces corps sans chaleur,
Ce bruit, ce froid, ces doutes, et tous ces visiteurs,
Cet éternel ballet dans ce déluge d’odeurs.
Au fond du box miteux, un vieux chien se tient droit,
L’hiver il connait ça, il ne craint pas le froid,
et même s’il se sent faible, il ne dit pas un mot.Cinq ans déjà qu’il est au fond de cette cage,
Il a même oublié au juste, quel est son âge,
Ses douleurs lui rappellent qu’il n’est plus un jeune chien,
Mais il se tient bien droit, il ne lâchera rien.Ses visiteurs qui passent, il faut bien les charmer…
Alors il se tient droit, il oublie son arthrose,
Il espère qu’on lui trouve un petit quelque chose,
Il espère tant et tant, et depuis tant d’années.La chaleur d’un foyer, bien sûr qu’il l’a connu.
L’amour, il l’a donné bien plus qu’il n’en a eu,
Il les a protégés, aimés, défendus et veillés,
Il n’a eu en retour que cet ultime rejet.C’était une matinée chaude et ensoleillée.
Son maître l’a largué ici et a rempli deux, trois papiers.
Lui, il n’a rien compris, mais en bon chien, il était sage.
Et pour faire taire sa peur il a rassemblé son courage. Les aboiements des autres, où il sent de la peur,
Ces sacs poubelles qui passent, tous ces corps sans chaleur,
Ce bruit, ce froid, ces doutes, et tous ces visiteurs,
Cet éternel ballet dans ce déluge d’odeurs.
Il a bombé le torse, il a fait les yeux doux,
Il n’a pas aboyé, pour ne pas leur faire peur,
Et pourtant pas un seul n’a su lire dans son cœur
Le refuge ferme ses portes, tout est noir, tout est flou.
Il n’a pas aboyé, pour ne pas leur faire peur,
Et pourtant pas un seul n’a su lire dans son cœur
Le refuge ferme ses portes, tout est noir, tout est flou.
Alors le vieux chien se couche dans son panier.
Ce n’est pas grave, pense-t-il, demain, j’y arriverai.
Mais ce qu’il ne sait pas, c’est que demain, en matinée,
Il a été prévu qu’il serait euthanasié.
Ce n’est pas grave, pense-t-il, demain, j’y arriverai.
Mais ce qu’il ne sait pas, c’est que demain, en matinée,
Il a été prévu qu’il serait euthanasié.
Poeme d'amour : Poeme Triste
je connais l'amour
mon cœur et si lourd
toi je t'aimer
et tu ma rejeté
tu et celle que je appellerait chérie
tu est la femme de ma vie
je t'aime pour une vie entière
même si nous deux on galéré
jamais je te quitterait
car tu es la filles que je veux aimer
mon cœur et si lourd
toi je t'aimer
et tu ma rejeté
tu et celle que je appellerait chérie
tu est la femme de ma vie
je t'aime pour une vie entière
même si nous deux on galéré
jamais je te quitterait
car tu es la filles que je veux aimer
Poeme d'amour : Poeme Triste
Je croyais que tout avait changée
Que j avais enfin un alliée
Quelqu'un a qui me confiée
Je me suis encore trompée
Mais cette fois ci est la plus dure a acceptée
Jamais je n'avais doutée
Jamais je n avais imaginée
Qu' a cause de lui je recommencerai à déprimer
Je lui avait accordée
Une 2eme chance de m’aime
Comme d habitude il a tout gâchée
Fais t-il sa pour m’éloigne ?
Ou bien par désir de me voir déprimée
Dans tout les cas j'en ai assez
D’être constamment malmenée
J'aimerai m'en aller et tout oubliée
Que j avais enfin un alliée
Quelqu'un a qui me confiée
Je me suis encore trompée
Mais cette fois ci est la plus dure a acceptée
Jamais je n'avais doutée
Jamais je n avais imaginée
Qu' a cause de lui je recommencerai à déprimer
Je lui avait accordée
Une 2eme chance de m’aime
Comme d habitude il a tout gâchée
Fais t-il sa pour m’éloigne ?
Ou bien par désir de me voir déprimée
Dans tout les cas j'en ai assez
D’être constamment malmenée
J'aimerai m'en aller et tout oubliée
Poeme d'amour : Poeme Triste
Une pensée noire,
Quelque chose qui ne me ressemble pas,
Une larme de désespoir,
L'abandon de soi,
J'ai peine de tellement de choses,
Je me sens tout à coup ivre,
Je m'aperçois que ma vie n'est pas rose,
J'ai le mal de vivre,
Je prends soudainement un couteau,
Je fais pleurer mes veines,
Je sais que ce n'est pas beau,
Mais il n'y a aucune chance que le bonheur revienne,
Je pensais en avoir fini,
Je qualifiais tout cela de "passé",
C'est le silence sans aucun cri,
Et je réalise qu'il ne m'a jamais quittée,
Maintenant il est trop tard,
N'essayez de m'aider en aucune sorte,
Perdez toutes notions d'espoir,
Ça y est... Je suis morte.
Quelque chose qui ne me ressemble pas,
Une larme de désespoir,
L'abandon de soi,
J'ai peine de tellement de choses,
Je me sens tout à coup ivre,
Je m'aperçois que ma vie n'est pas rose,
J'ai le mal de vivre,
Je prends soudainement un couteau,
Je fais pleurer mes veines,
Je sais que ce n'est pas beau,
Mais il n'y a aucune chance que le bonheur revienne,
Je pensais en avoir fini,
Je qualifiais tout cela de "passé",
C'est le silence sans aucun cri,
Et je réalise qu'il ne m'a jamais quittée,
Maintenant il est trop tard,
N'essayez de m'aider en aucune sorte,
Perdez toutes notions d'espoir,
Ça y est... Je suis morte.
Poeme d'amour : Poeme Triste
Depuis quatre mille ans il tombait dans l'abîme
Il n'avait pas encor pu saisir une cime,
Il tombait foudroyé, morne silencieux,
Triste, la bouche ouverte et les pieds vers les cieux,
Il cria: – Mort! – les poings tendus vers ce dieu pervers
Ce mot plus tard fut homme et s'appela Oliver.
Il n'avait pas encor pu saisir une cime,
Il tombait foudroyé, morne silencieux,
Triste, la bouche ouverte et les pieds vers les cieux,
Il cria: – Mort! – les poings tendus vers ce dieu pervers
Ce mot plus tard fut homme et s'appela Oliver.
Poeme d'amour : Poeme Triste
Aujourd'hui oublié
Demain oublié
Hier oublié
Mes créateurs m'oublie
Je pars
Je disparais seul
Je marche solitaire, seul
Je baisse la tête
Je laisse la musique m'emportait
Je laisse la musique me consoler
Je laisse mes pensés devenir mes créateurs
Je laisse partir tous se dont je connais depuis la naissance
A par une personne
Qui est-ce?
Ce n'est que secret...
Poeme d'amour : Poeme Triste